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Cotonéaster lacteus - Cotonéaster laiteux : taille 20/30 cm - pot 1,5 litres
Souvent appelé cotonéaster lacté, est un arbuste persistant robuste et facile à vivre, recherché pour sa floraison printanière blanche, très mellifère, et pour ses longues grappes de baies rouge vif qui illuminent le jardin de l’automne jusqu’au cœur de l’hiver. Naturellement buissonnant, élégant et légèrement retombant, il compose des haies persistantes efficaces et décoratives, des brise-vue durables, et se prête tout autant à la plantation en isolé qu’en haie libre ou taillée. Son feuillage coriace vert foncé, brillant sur le dessus et finement duveteux au revers, crée un contraste saisissant avec les cymes de fleurs blanc crème en fin de printemps. Ces inflorescences abondantes attirent abeilles et pollinisateurs, tandis que les fruits, très décoratifs, sont appréciés des oiseaux qui animent le jardin en saison froide.
Originaire de l’ouest de la Chine, le Cotonéaster lacteus tolère une large gamme de sols, y compris calcaires, supports pauvres ou légèrement secs une fois bien enraciné. Il aime le plein soleil à la mi-ombre, montre une excellente rusticité (jusqu’à environ -20 °C en situation drainée) et supporte les conditions urbaines (pollution, vent, courants d’air) ainsi qu’une exposition côtière modérée. Sa croissance soutenue mais maîtrisable permet d’obtenir rapidement du volume sans entretien compliqué : une taille de formation après floraison suffit généralement pour conserver une silhouette nette ou pour densifier une haie. Dans les jardins familiaux, publics ou d’entreprise, sur talus en pente à stabiliser, en massif de structure ou le long des clôtures, c’est un choix « zéro souci » qui conjugue esthétique, fonction et biodiversité.
En conteneur de 1,5 L et hauteur 20/+ cm, ce jeune plant s’installe aisément toute l’année hors gel et fortes chaleurs. La reprise est rapide : quelques arrosages réguliers la première saison, un paillage, et l’arbuste déploie son feuillage lustré puis sa merveilleuse fructification rouge corail. Indémodable, indéfectible, le Cotonéaster lacteus est une valeur sûre pour structurer un jardin facile d’entretien, écologique et très ornemental de janvier à décembre.
La plante offre un triple intérêt ornemental : printemps lumineux avec ses corymbes de fleurs blanches en nuées, été d’un vert profond et vernissé qui accroche la lumière, puis automne-hiver éclatant où les lourdes grappes de baies rouge corail pendent comme des guirlandes et restent longtemps en place. Les rameaux arqués dessinent des lignes souples, élégantes, apportant du mouvement au jardin même au repos végétatif. Le revers feutré des feuilles ajoute une subtile note argentée aux moindres frissons du vent.
Les fleurs, riches en nectar et pollen, constituent une ressource précieuse pour abeilles, syrphes et bourdons au cœur du printemps. En automne et en hiver, les fruits attirent merles, grives et rouges-gorges, contribuant à la chaîne alimentaire et à l’animation du jardin durant la mauvaise saison. Peu gourmand en eau après implantation, supportant la pollution et réduisant les besoins d’entretien, le Cotonéaster lacteus coche de nombreuses cases d’un aménagement durable.
Les deux premières saisons, maintenir le sol légèrement frais par des arrosages espacés mais copieux en période sèche. Ensuite, l’arbuste devient très autonome. Fertilisation superflue en pleine terre : un apport léger de compost au printemps suffit dans les sols très pauvres. Surveiller le drainage : l’eau stagnante en hiver est la principale cause d’affaiblissement. La taille se réalise idéalement après floraison (juillet) pour ne pas compromettre la fructification ; sur haie taillée stricte, une taille hivernale est possible mais peut réduire les baies la saison suivante. Éclaircir les vieux rameaux à la base tous les 3–4 ans pour garder vigueur et floribondité. En talus exposé, ancrer les jeunes plants et pailler généreusement le temps de l’enracinement. En pot (grand bac), prévoir un substrat drainant (terreau + pouzzolane) et des arrosages réguliers l’été.
Janvier – février : Les grappes de baies rouges persistent souvent, nourrissant les oiseaux. Le feuillage reste dense, vert sombre et lustré, donnant structure et couleur aux scènes hivernales.
Mars – avril : Reprise végétative discrète : nouvelles feuilles vernissées, rameaux qui s’allongent. Préparer le sol (désherbage, paillage), apporter un peu de compost si nécessaire.
Mai – juin : Pleine floraison blanche en cymes : le buisson se couvre d’écume, bourdonnant d’insectes. Une taille de détail après floraison permet de former haies et sujets libres.
Juillet : Nouaisons nombreuses : les petits fruits se forment. Le feuillage, parfaitement couvrant, supporte bien la chaleur si le sol reste un minimum frais.
Août – septembre : Les fruits virent progressivement à l’orange puis au rouge vif. L’arbuste prend de l’ampleur et gagne en densité ; on anticipe l’éclat automnal.
Octobre : Apogée décorative : grappes lourdes de baies rouges et feuillage toujours lustré. Idéal pour réchauffer la scène avec graminées blondes et asters.
Novembre – décembre : Les fruits persistent longtemps, parfois jusqu’aux premières fortes gelées. Le port arqué met en valeur le graphisme hivernal, surtout au givre ou sous une fine neige.
1. Elaeagnus × ebbingei ‘Gilt Edge’ (chalef panaché)
Feuillage persistant vert bordé d’or : il éclaire la masse vert foncé du cotonéaster. Ensemble, ils composent une haie persistante chic, lumineuse et ultra tolérante aux embruns et à la pollution. Les floraisons parfumées de l’eleagnus relayent l’intérêt nectarifère du printemps à l’automne, et l’hiver reste hautement décoratif grâce aux baies rouges du Cotonéaster.
2. Viburnum tinus ‘Eve Price’ (laurier-tin)
Boutons roses et fleurs hivernales blanches : il prolonge l’intérêt de décembre à mars, tandis que le Cotonéaster assure la couleur par les fruits. En haie libre, alterner 1 :1 tous les 90 cm pour un ruban persistant, florifère et nourricier pour la faune.
3. Berberis julianae (épine-vinette persistante)
Feuillage vernissé, épines défensives et petites fleurs jaunes parfumées. En arrière-plan, il consolide le rôle de brise-vue et dissuade les intrusions, tandis que les baies rouges du Cotonéaster ponctuent la scène à l’automne. Alliance parfaite pour lisières et clôtures.
4. Miscanthus sinensis ‘Gracillimus’ (graminée)
Les houppes soyeuses et la verticalité légère tranchent avec les courbes des rameaux arqués. En massif contemporain, l’ensemble offre un rythme saisonnier : plumes argentées en fin d’été, baies rouges en automne, feuillage persistant l’hiver.
5. Rosiers paysagers (ex. ‘The Fairy’, ‘Sally Holmes’)
La floribondité des rosiers tapissants ou arbustifs s’accorde à la sobriété vernissée du Cotonéaster. En pied de haie ou en massif, ils apportent remontée estivale continue et teintes pastel/rosées qui dialoguent avec les grappes rouges de l’automne.
6. Skimmia japonica et Nandina domestica (bambou sacré)
Pour une scène d’ombre claire à mi-ombre : boutons parfumés, baies, feuillage coloré hivernal de la Nandina. Le Cotonéaster assure la structure persistante et la masse, les compagnons apportent parfums, couleurs et finesse de texture.
Cotonéaster viendrait du latin cotoneum (coing) et du suffixe -aster (« qui ressemble à ») en référence aux fruits rappelant de petites pommes/coings. L’épithète lacteus (« laité », « lacté ») évoque le blanc crémeux de la floraison en nuées.
Arbuste persistant et rustique, le Cotonéaster lacteus combine floraison blanche mellifère au printemps, baies rouges très décoratives de l’automne à l’hiver, port arqué élégant et tolérance exemplaire (sols ordinaires à calcaires, pollution, embruns, vent).
Idéal en haie, en isolé ou sur talus, il structure le jardin toute l’année et soutient la biodiversité. Peu exigeant, il se contente d’un sol drainé, d’une taille de formation après floraison et de quelques arrosages au départ. Une valeur sûre pour des aménagements durables et esthétiques.
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