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Geranium Cantabrigiense 'St Ola' - Géranium de Cambridge blanc : godet 9 × 9 cm – 0,6 litre
Geranium cantabrigiense 'St Ola' est l’allié rêvé des jardiniers pressés : il couvre le sol, parfume l’air, nourrit les pollinisateurs et résiste aussi bien aux froids vifs qu’aux étés secs. Cette petite vivace issue de la prestigieuse lignée des géraniums « de Cambridge » déploie, dès la fin du printemps, un coussin de feuillage semi‑persistant vert pomme, gaufré et délicatement aromatique au froissement. En juin, des centaines de corolles blanc‑crème ourlées d’un soupçon de rose s’ouvrent en coupe au‑dessus des feuilles, tels des papillons diaphanes planant à vingt centimètres du sol. La plante s’agrandit par rhizomes courts, restant parfaitement contenue (40–50 cm de large) et formant un tapis ondoyant qui empêche les adventices de s’installer.
Né d’un croisement spontané entre Geranium macrorrhizum et Geranium dalmaticum observé au Jardin botanique de Cambridge, le groupe cantabrigiense hérite de la robustesse montagnarde du premier et de la compacité parfumée du second. 'St Ola', sélection écossaise nommée d’après un village des Orcades, pousse là où d’autres capitulent : sols maigres, talus pierreux, bordures d’allées piétinées, plates‑bandes oubliées derrière un muret. Indifférent aux cerfs et aux lapins, il prospère en plein soleil tempéré comme sous une ombre légère, sous climat continental, océanique ou montagnard, et s’établit en deux saisons à peine. Mieux encore, il fleurit en deux temps grâce à une remontée automnale, tandis que son feuillage prend des teintes rouge curry quand les nuits fraîchissent.
Compact mais spectaculaire, très rustique (–25 °C et moins) et pauvre en entretien, le géranium 'St Ola' s’intègre à tous les décors : jardin de cottage, mixed‑border contemporain, massif de graminées, couvre‑sol sous arbustes, potées XXL sur terrasse ou encore toiture végétalisée. Une seule condition : un substrat drainé. Ajoutez‑lui un paillis minéral, pincez les fleurs fanées si vous voulez prolonger le show, puis oubliez‑le : il reviendra chaque année, plus dense et parfumé, pour charmer votre regard… et vos narines !
Sous un soleil rasant de juin, la masse blanc nacré de 'St Ola' éclaire littéralement les bordures ombragées. Chaque pétale satiné capte la lumière et reflète un halo argenté qui contraste avec la texture mate des feuilles gaufrées. Au cours de l’été, le feuillage prend de subtiles nuances vert‑citron, puis rougit de brique lorsque les premiers frimas d’automne pointent, offrant un spectacle chromatique inattendu pour un couvre‑sol.
Les fleurs richement nectarifères attirent syrphes, abeilles sauvages et bourdons terrestres dès le petit matin. Leur pollen, disponible sur deux périodes, constitue un relais alimentaire précieux pour les butineurs. Le parfum balsamique du feuillage éloigne les limaces, limitant l’usage de granulés. Sa faible consommation d’eau et son aptitude au mulch vivant en font une plante écoresponsable pour jardins secs ou éco‑pâturés.
Facile au carré ! La première saison, arrosez une fois par semaine si la pluie se fait désirer, afin de favoriser l’enracinement. Ensuite, laissez le gérer son agenda : il puise l’humidité en profondeur grâce à ses rhizomes charnus. Supprimez les fleurs fanées en cisaillant la touffe à 10 cm du sol en juillet : la feuillaison repart vite et peut offrir un rappel floral fin septembre.
En sol maigre, un compost mûr tamisé au pied tous les deux ans suffit. Paillez le d’un tapis de feuilles mortes dans les régions où les hivers dépassent –25 °C, en plaine océanique douce, aucune protection n’est nécessaire. Évitez tout excès d’eau stagnante : si votre terrain est lourd, plantez 'St Ola' en butte ou dans un pot large drainé par 5 cm de bille d’argile.
Le géranium résiste naturellement aux cervidés, tolère le vent salin des bords de mer et n’exige pas de division avant 6 – 7 ans : quand la touffe se creuse, soulevez‑la à la fourche-bêche, divisez en quartiers et replantez ailleurs ou offrez les aux voisins !
Janvier – février : sous un manteau de givre, les rosettes persistantes restent basses, prêtes à redémarrer dès la fin de la dormance.
Mars – avril : de nouvelles pousses vert vif surgissent, s’allongeant pour tisser un tapis continu ; le parfum résineux se dévoile aux premiers rayons.
Mai : les boutons floraux perlent au-dessus des feuilles, promesse d’un spectacle imminent.
Juin – juillet : apogée ! Les corolles ivoire se succèdent sans interruption, couvrant la plante d’un voile neigeux ; le bourdonnement des abeilles est continu.
Août : floraison en légère pause ; on peut raccourcir d’un tiers pour relancer la végétation.
Septembre : seconde vague de fleurs, plus discrète mais bienvenue, et début de la coloration rouge‑brique des feuilles.
Octobre – novembre : le tapis adopte un camaïeu d’ocre, grenat et cuivre, contrastant avec les vivaces fanées.
Décembre : les températures chutent ; le feuillage se rabat mais ne disparaît pas, assurant une présence verte hivernale.
1. Hemerocallis ‘Catherine Woodbury’ – Les grandes trompettes lilas de ce lis d’un jour surgissent au‑dessus du tapis blanc de 'St Ola', offrant un contraste vertical et coloré. Les racines charnues de l’hémérocalle apprécient comme lui un sol frais mais drainant, tandis que leur calendrier floral se chevauche juste assez pour créer un relais pastel de juin à août.
2. Miscanthus sinensis ‘Morning Light’ – La grâce aérienne des fines feuilles panachées de ce miscanthus dessine un arrière‑plan argenté qui capte la lumière au même rythme que les pétales ivoire du géranium. Installés sur une butte graveleuse, ils composent une scène filmique où la brise anime en continu les épis soyeux et les corolles.
3. Lavandula × intermedia ‘Grosso’ – Devant les touffes structurées de lavande, 'St Ola' joue la couverture parfumée, supprime naturellement les adventices et renforce l’ambiance méditerranéenne. Le contraste blanc/bleu et la dualité des parfums (résine balsamique / camphre suave) transforment une simple bordure en promenade sensorielle.
4. Hydrangea arborescens ‘Annabelle’ – À l’ombre légère d’un hydrangea boule, le géranium protège le pied de la concurrence herbacée et offre un écho plus bas, mais tout aussi lumineux, aux capitules blancs géants. Ensemble, ils créent un dégradé de volumes et assurent une floraison ininterrompue de juin à septembre, appréciée des pollinisateurs.
5. Carex morrowii ‘Ice Dance’ – Dans un patio frais et semi‑ombragé, ce carex au feuillage panaché bordé de crème s’entrelace au géranium sans lui disputer l’espace. L’association mise sur l’écho chromatique : blanc sur blanc, ponctué de verts variés. Les deux espèces restent décoratives toute l’année et se contentent d’une taille annuelle.
Le terme Geranium provient du grec ancien « γερανός » (geranos) signifiant « grue », en référence à la forme du fruit évoquant un bec de grue. Le nom latin cantabrigiense honore la ville de Cambridge où l’hybride fut découvert. Le cultivar 'St Ola' fait écho à Saint‑Olaf, patron des îles Orcades, rappelant l’origine écossaise de la sélection et son endurance aux vents du Nord.
Polyvalent, robuste et élégant, Geranium cantabrigiense 'St Ola' offre un tapis fleuri blanc crème de juin à septembre, parfumé et nectarifère, qui reste décoratif toute l’année grâce à son feuillage semi‑persistant aromatique.
Très rustique, il brave la sécheresse passagère, supporte le vent marin et s’adapte du plein soleil léger à l’ombre claire. Peu exigeant, il contrôle la prolifération des mauvaises herbes, se marie aux lavandes, graminées, hydrangeas ou hémérocalles, et se contente d’une taille après floraison.
Véritable couteau suisse des massifs comme des grands bacs, il simplifie l’entretien du jardin tout en le sublimant. Un indispensable pour qui cherche la beauté durable sans contraintes !
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